Animé Crunchy n°17 : Witch Watch

Avis de la rédaction : 

On y suit Nico, une apprentie sorcière un peu gaffeuse, et Morihito (qui veut dire “Moi”), son ami d’enfance devenu son garde du corps enfin, façon de parler, parce que le gars passe surtout son temps à rattraper les catastrophes magiques qu’elle déclenche à longueur de journée. Leur duo fonctionne à merveille : elle est solaire, tête en l’air et maladroite, lui est stoïque, protecteur et complètement dépassé par les événements. Résultat : un mélange explosif, drôle et attendrissant à la fois. Ce qui marche super bien dans Witch Watch, c’est son ton. L’anime ne se prend jamais au sérieux, enchaîne les gags absurdes, les références pop culture et les clins d’œil à d’autres shōnen, tout en glissant de vrais moments tendres entre Nico et Moi. C’est ce petit équilibre entre comédie, tranche de vie et magie du quotidien qui fait mouche. Visuellement, c’est propre, coloré, avec une animation fluide et expressive. Ce n’est pas un monstre de technique, mais l’équipe a capté l’esprit du manga : fun, dynamique, et plein de personnalité. Mention spéciale aux expressions faciales et aux petits effets magiques qui rendent chaque scène vivante. Et la musique ? Ambiance légère, génériques ultra catchy (le genre que tu chantes sous la douche sans t’en rendre compte) et une direction sonore qui colle parfaitement à l’énergie du show.

En bref, Witch Watch, c’est une bouffée d’air frais dans le monde des animés actuels. Pas besoin de combats épiques ou d’univers ultra profonds juste une histoire simple, drôle et pleine de charme. C’est un peu le Komi-san version magique, ou le Saiki Kusuo version romance soft.